Ma petite Chevelue a déjà 7 mois. Cela fait 7 mois que nous vivons, parfois dans le bonheur, parfois dans la douleur, ce lien lacté si précieux à mes yeux. Je me rends compte que cela fait quelques temps que je ne vous ai pas parlé d’allaitement. C’est peut-être une signe de la normalisation de cet allaitement dans nos vies.
Si cela n’a pas toujours été facile, l’allaitement a vraiment été plus que génial cet été. De longues tétées, pas de souci particulier, du bonheur. Puis les choses se sont compliqués au retour à Paris. La Chevelue a commencé la crèche et a refusé de manger pendant une semaine. Quand elle a enfin accepté les biberons, c’est ma situation que j’ai trouvé difficile voire pénible. Tirer son lait, avoir des rendements pas forcément à la hauteur de ses besoins, avoir un bébé très demandeur à son retour à la maison… Difficile de gérer tout cela.
Entre les 18 et les 24 mois de Moutarde, nous avons eu droit à ce qu’on appelle communément, au Terrible Two. Certes, la naissance de sa soeur à ses 19 mois n’y est sûrement pas étranger et comme si gérer un nouveau-né n’est pas assez fatiguant, nous avons eu droit à une petite fille qui se mettait à hurler et à pleurer à la moindre contrariété. Psychologiquement, ce fut assez difficile, d’autant plus qu’à ce moment-là, Moutarde avait décidé de se réveiller, hurlante, chaque matin entre 5 et 6h. Allez 6h30 pour les jours de grasse matinée.
Depuis nos longues vacances d’été, tout cela a bien changé. Notre petite fille a mûri et tout le monde, y compris les auxiliaires de la crèche, s’accordent à le dire. Moi, je constate qu’une chose à surtout changer: elle a appris à gérer ses frustrations.
Ce weekend, nous avons profité du beau temps pour enfin tester les lunettes de soleil pour bébé de la jolie marque Luc et Léa. Destinées aux bébés de la naissance jusqu’à 1 an, je leur ai trouvé de nombreux points positifs:
Comme l’immense majorité des mamans, j’adooooore habiller mes filles. Les petites tuniques choupi, les bloomers, les robes qui tournent, tout y passe. Et le Mari se plaint régulièrement des placards qui ne désemplissent pas. Il a donc été ravi quand j’ai été invitée à découvrir le concept Diabolino.
Diabolino est un peu le dépot vente des temps modernes ! Le store vous rachète vos vêtements d’enfants haut de gamme (de 0 à 8 ans) entre 10 et 12 % du prix d’achat neuf. Les produits sont ensuite revendus à -70% par rapport au prix boutique.