
La photo n’est pas vraiment belle mais qu’importe. J’ai vécu une semaine toute douce. Une semaine où la bienveillance était plus que jamais de mise et où j’ai retrouvé quelques repères de ma vie d’avant. Je suis sortie seule, sans enfants, sans mari, 2 soirs de suite. J’ai eu la grande chance qu’une adorable lectrice m’offre des billets pour aller assister au concert privé de Brigitte au Crazy Horse. Un concert d’une heure, bien trop court à mon goût. Un concert qui a le goût de champagne, de liberté, de jeunesse. Un moment rien qu’à moi, car ils sont bien trop rares en ce moment. Un moment d’insouciance que je savoure encore quelques jours plus tard.



Si je vous dis Alfred de Musset, vous pensez forcément à ces nombreuses pièces de théâtre romantiques que nous avons tous dû étudier à un moment ou à un autre de notre scolarité. En vérité, je connais assez mal Musset. Je crois avoir lu Les caprices de Marianne et Lorenzaccio au collège dans ma jeunesse, mais je m’en souviens peu.