Devenir maman, changer, rester belle (sponso)

Quand je n’étais pas encore maman, j’étais une fille très coquette. Je me pomponnais chaque matin, je prenais soin de mon corps, je faisais beaucoup de sport… Et puis les enfants sont nés et mon corps de maman a pris le pas sur mon corps de jeune femme. J’ai bien plus de rondeurs, de rides, bien moins de temps le matin pour me mettre de la crème, pour me vernir les ongles ou profiter d’un masque. Je suis une maman et j’ai d’autres priorités. J’aime toujours prendre soin de moi mais je n’ai pas forcément beaucoup de temps à me consacrer.

mon moiQuand je croise mon image dans le miroir, je suis parfois très dure avec ce bourrelet, cette vergeture, ce cheveu blanc. Je me trouve grosse, hideuse, vieille. J’utilise volontiers ces 3 mots car je les pense, vraiment.

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Mes idées cadeaux de Noël: Mes soins corporels pour un hiver en douceur

Avec l’hiver, ma peau ultra-blanche et sensible est mise à rude épreuve. Seulement voilà, moi qui avait l’habitude de passer pas mal de temps dans la salle de bain, ai désormais peu de temps le matin pour me préparer, car j’ai 2 lutins qui m’attendent de pied ferme. J’ai du coup choisi d’utiliser des produits de grande qualité, haut de gamme mais qui sauront répondre à mes attentes. Des actifs connus depuis longtemps ou du naturel, pour un maman allaitante qui aspire à moins de produits chimiques dans son quotidien.

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7 mois de lien lacté

Ma petite Chevelue a déjà 7 mois. Cela fait 7 mois que nous vivons, parfois dans le bonheur, parfois dans la douleur, ce lien lacté si précieux à mes yeux. Je me rends compte que cela fait quelques temps que je ne vous ai pas parlé d’allaitement. C’est peut-être une signe de la normalisation de cet allaitement dans nos vies.

Si cela n’a pas toujours été facile, l’allaitement a vraiment été plus que génial cet été. De longues tétées, pas de souci particulier, du bonheur. Puis les choses se sont compliqués au retour à Paris. La Chevelue a commencé la crèche et a refusé de manger pendant une semaine. Quand elle a enfin accepté les biberons, c’est ma situation que j’ai trouvé difficile voire pénible. Tirer son lait, avoir des rendements pas forcément à la hauteur de ses besoins, avoir un bébé très demandeur à son retour à la maison… Difficile de gérer tout cela.

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19 mois d’écart…

J’ai récemment lu l’article de Minireyve sur le fait d’avoir 2 enfants de 19 mois d’écart. Cela me parle forcément puisque c’est précisément l’écart d’âge de mes 2 filles. 

De mon côté, je n’ai jamais envisagé d’avoir des enfants d’âges rapprochés. Après la naissance de Moutarde, nous avons simplement eu envie d’un deuxième enfant assez rapidement, et il est venu très rapidement également. Je n’imagine désormais pas une seconde ma vie sans mes filles. Moutarde, comme la Chevelue, font tellement partie de nos vies que nous ne savons plus à quoi la vie ressemble, sans leurs rires, sans leurs pleurs, sans les réveils trop tôt, les bobos à soigner, les couches à changer. 

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1 mois en corps à corps

Un mois ou presque qu’elle est née. Un mois ou presque qu’elle semble avoir toujours été dans notre famille. Le mois le plus dur de ma vie. La Chevelue est pourtant un bébé facile à vivre, souriant, bonne dormeuse. Cependant, j’avais décidé de réussir cet allaitement. J’ai donc passé les 3 semaines suivants sa naissance dans les larmes, la douleur, l’incertitude, l’envie de tout plaquer 10 fois par jour.

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Beaucoup de cailloux se sont mis sur notre chemin et pour l’instant, ils nous ont fait trébucher mais jamais tomber.

A la maternité, on m’a forcé à donner du lait artificiel alors qu’elle avait à peine plus de 24 heures car elle avait soit disant perdu trop de poids. J’ai eu peur d’être encore confrontée à un échec, j’en ai pleuré. Au retour à la maison, alors que j’ai arrêté de lui donner du lait artificiel, j’ai pris conseil auprès d’une consultante, Véronique Darmangeat, qui m’a énormément aidé. J’ai serré les dents devant la douleur, j’ai commencé à prendre mes marques… pour voir mes espoirs s’écrouler devant une sage-femme de la PMI qui m’annonce froidement que mon bébé ne prend pas suffisamment de poids.

S’en est suivie une semaine de doutes, de réveils nocturnes pour tenter de la nourrir, de stress. Une résolution d’arrêter tout, un rendez-vous chez une pédiatre, une oreille et des paroles bienveillantes de Véronique. Ces 2 personnes m’ont rendu plus que de l’espoir, la confiance en moi. Mon bébé va bien, prend assez de poids, largement assez ! les douleurs sont (presque) derrière moi et nous commençons à nous sentir bien dans cette relation si particulière.

Je sais que d’autres difficultés seront probablement sur notre chemin. Je savoure cette petite victoire de persévérance, sur moi-même avant tout. J’espère que nous allons continuer à nous épanouir dans cette relation.

J’en profite pour remercier celles qui sur Twitter, sur Facebook et même au téléphone, ont pris le temps pour m’aider, me conseiller, me rassurer. Merci à toutes d’avoir été des petites bouées de secours lors des moments difficiles.

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