Vous le savez, nous allons très souvent en vacances dans le Lot, puisque c’est là-bas que la famille du Mari se retrouve. Cette année, nous y avons passé une grande partie des vacances de Noël.
On ne les avait pas trop vu chez nous et puis ils ont pointé le bout de leur (vilain) nez: les microbes nous ont rendu visite cette semaine. Evidemment, loi de Murphy oblige, c’était la semaine où j’étais seule avec les filles jusqu’à jeudi. Et évidemment, la plus attaquée par les microbes, c’était moi… Bref, j’ai passé un début de semaine avec des signes de gastro… qui ont évolué en bonne grippe. Cela ne m’a pas empêché de partager avec vous quelques photos:
J’avais suivi de loin les polémiques sur la construction de la cathédrale russe du quai Branly (de son vrai nom, la cathédrale de la Sainte Trinité). J’ai toujours aimé cette architecture, après tout, j’ai peut-être été influencée par le fait d’avoir grandi à 2 pas de la cathédrale Alexandre Nevsky, la première église orthodoxe de Paris. J’avais croisé au détour d’un trajet de bus la nouvelle cathédrale et m’étais promise de venir la visiter de plus près.
A cause des travaux de leur école, les filles étaient en vacances 2 jours avant les autres petits enfants. Nous en avons donc profité pour faire quelques sorties parisiennes sans devoir affronter le flot de touristes.
J’avais réservé des billets pour aller voir l’exposition Gauguin au Grand Palais. Quelle drôle d’idée me direz-vous… Sauf que nous visitons tous les musées ou expos avec nos filles depuis qu’elles sont toutes petites. L’idée est avant tout de faire des lieux de culture des endroits faisant partie de leur quotidien et de leur normalité. Elles ont aussi une bonne mémoire et se souviennent souvent de ce qu’elles ont visité.
Finalement, après les vacances, on est toujours contents de retrouver notre ville, Paris la belle. On peste au quotidien parce qu’on trouve les rues sales, les voitures trop présentes, les nouveaux Vélibs toujours invisibles, le métro de moins en moins praticables… mais on oublie souvent qu’on habite aussi une ville magnifique où chaque rue est un musée à ciel ouvert, où il y a tant à faire les jours de ciel bleu comme les jours de pluie.
