C’est à chaque fois un grand plaisir que de sortir du métro Palais Royal, d’arriver Place Colette, de passer devant le kiosque des noctambules… pour arriver devant ce magnifique bâtiment de la Comédie Française. De voir des lieux qui ont été fréquentés par les plus grands, de fouler leurs pas, de voir leurs bustes et de mettre un visage sur ces noms, de s’imaginer Molière assis dans le fauteuil du Malade Imaginaire…
C’est aussi un plaisir que de voir des spectacles si créatifs et si bien interprétés.
Hier soir, j’ai eu l’immense joie d’assister à une représentation d’un Tramway nommé désir, pièce que j’affectionne tout particulièrement car le répertoire américain est pour moi un enchantement.