Si je vous dis Alfred de Musset, vous pensez forcément à ces nombreuses pièces de théâtre romantiques que nous avons tous dû étudier à un moment ou à un autre de notre scolarité. En vérité, je connais assez mal Musset. Je crois avoir lu Les caprices de Marianne et Lorenzaccio au collège dans ma jeunesse, mais je m’en souviens peu.
J’ai donc profité de mon abonnement (rappelez-vous, Un Tramway nommé désir) à cet endroit merveilleux qu’est la Comédie Française pour revisiter une pièce classique du Romantisme: On ne badine pas avec l’amour.
Je dois dire que j’ai été agréablement surprise à certains égards, plutôt déçue sur d’autres. D’abord, je découvrais le Théâtre du Vieux Colombier, la seconde salle de la Comédie Française, dont le plafond n’est pas sans me rappeler ces églises aux voûtes « coque de bateau ».