Je connais depuis longtemps la réputation du Cirque du Soleil et si j’avais déjà vu des extraits des spectacles à la télévision, je n’avais jamais eu la chance d’y assister. Je dois dire que je ne suis pas fan de cirque: je n’aime pas spécialement les numéros de force, je déteste les clowns, les numéros avec les animaux m’ennuient souvent… Je ne savais pas que le Cirque de Soleil n’avait de cirque que le nom et qu’en pénétrant sous son chapiteau, j’entrais dans un univers où l’histoire, où Amaluna, est avant tout prétexte à servir des numéros d’exception. Car c’est là où le nom du Cirque du Soleil prend tout sons sens: les artistes sont tous majestueux et rayonnants.
Dès le premier numéro, nous avons été happés dans un univers coloré où la gravité, où la raideur des corps ne semblaient pas avoir de prise. Même la musique (bien que trop forte, notamment pour les oreilles sensibles des plus petits) était millimétrée, jouée par des musiciens participant activement au spectacle. A chaque seconde, les adultes comme les enfants tremblent et pourtant les mains et les pieds reviennent toujours se poser au bon endroit, défiant toute réalité. L’instant de grâce est touché dans le numéro des canes durant lequel nous étions hypnotisés par ce ballet de bois et d’air.
On ressort de là enchantés, ravis, et émerveillés par tant de prouesses, mais aussi tant de poésie et de travail. Chapeau les artistes !
Amaluna, du 5 novembre au 3 janvier 2016, Plaine des jeux de Bagatelle>>
On a vu la répet de leur spectacle à L’expo de Milan, ça a l’air époustouflant ! Je rêve de les voir un jour !
De magnifiques photos! Ca a l’air grandiose!
[…] succession de numéros, sans forcément de transition. Avec des artistes comme la famille Gruss ou le Cirque du Soleil, c’est de moins en moins vrai. Ici, il y a une vraie volonté de […]
[…] pas très sensible au cirque mais je prends un grand plaisir à voir les acrobates virevolter au cirque du soleil, au cirque Alexis Gruss ou ailleurs. J’admire leurs corps si élastiques, les figures qui […]