Avant la naissance de Moutarde, j’avais établi une liste de naissance sur laquelle figurait notamment 2 articles: un lit parapluie et un transat, tous les 2 de la marque Babybjörn. Si la marque suédoise est souvent décriée par les puristes du portage physiologique, elle ne m’a en tout cas jamais déçue avec ces 2 produits.
Je n’avais bêtement pas gardé le transat acheté pour ma Moutarde (revendu quand elle a eu 6 mois environ car elle ne voulait plus aller dedans) et quand on m’a proposé de tester celui-ci pour la Chevelue, j’ai sauté sur l’occasion.
Ma Moutarde adorait son transat. Elle y a passé de longs moments à jouer notamment avec la barre adaptée, à se balancer ou bien même à se faire balancer par le pied de papa ou maman. Elle y a fait des siestes (et oui !) car cette petite personne refusait absolument toute sieste dans son berceau. J’appréciais notamment le fait que le transat se plie aussi facilement et soit aussi fin, ce qui me permettait de le ranger derrière une porte dans notre petit appartement de l’époque.
Aujourd’hui, le transat Babybjörn est devenu le petit siège de salon de la Chevelue. Je l’ai mise dedans comme un bébé avec l’attache pour la photo mais nous l’utilisons avec l’assise retournée afin qu’elle puisse y aller quand bon lui semble. C’est son petit « spot » à elle, quand elle veut se poser et câliner son doudou. Moutarde essaie régulièrement de lui piquer ce qui provoque immanquablement des crises diplomatiques.
Là encore, j’apprécie son côté pratique avec 2 grands bébés: quand il est recouvert de tâches de boudoir, je jette l’assise dans la machine et zou ! il est donc aussi pratique à nettoyer qu’à ranger.
C’est un produit que je recommande à toutes mes amies enceintes. C’est un investissement mais sur le long terme, qui peut servir pour toute la fratrie et qui durera.
Il a l’air chouette ce transat, ma poulette n’en a pas ici, faut dire elle pèse deja son poids a 8 mois , c’est trop visiblement , elle regarde la télé de son trotteur ou de sa station d’éveil par contre bonjour le cou quand elle s’endort …